Pas de recette ici, mais un petit truc bien utile. Les « convertisseurs » sont des cartouches d’encres réutilisables. Rien de nouveau là-dedans, mais avec l’utilisation généralisée des cartouches jetables on a parfois du mal à en trouver.
Il y a plusieurs avantages à les utiliser. D’abord, le côté « zéro déchet » (et donc moins de plastique) n’est pas négligeable. Les flacons d’encre sont en verre et dure des mois voir des années. Ensuite, vous trouverez beaucoup plus de couleurs que les classiques bleu effaçable, turquoise et noir. Certaines sont même parfumées. Vous pouvez également créer vos mélanges comme ici.
Les convertisseurs se présentent comme une mini seringue avec le même embout que les cartouches. Attention à la marque, certains ne sont pas compatible avec tous les stylos plumes. Par exemple, les convertisseurs de la marque Pelikan ne sont pas compatible avec les stylos Waterman.
Une idée comme ça : Ici en Suisse, et jusqu’à un certain âge les enfants écrivent à la plume à l’école. Mon fils change de cartouche 1 fois par mois environ et ils sont 20 dans sa classe. Le calcul est simple :
1 cartouche X 20 gamins X 10 mois d’école par an = 200 cartouches d’encres par an pour 1 classe (je vous laisse compter la consommation de cartouche pour une école)
Je comprends qu’un prof ne puissent pas gérer le remplissage des cartouches de 20 élèves, mais il serait tout à fait possible, que chaque élève ai sa bouteille d’encre à la maison. Le niveau pourrait être vérifié régulièrement par les parents et le prof aurait juste une bouteille pour les oublis occasionnels.
Top chrono ça me prend moins de 1 min pour recharger ma cartouche. Et à l’heure où l’on parle d’interdire les coton-tiges et les pailles en plastique, je trouve cette idée plus tôt raccord.